L'opération

INTRODUCTION

La plupart d’entre nous pensent que les rencontres entre individus sont affaire de hasard ; qu’en raison de la multitude de décisions prises, par chacun et à chaque seconde, il ne puisse en être autrement.
À tout moment il semble que celui-ci décide de se diriger dans une direction de son choix, celui-là vers une autre sans qu’apparemment il ne puisse y avoir d’autre intention que la continuité de leur intérêt personnel. Les évènements semblent se passer dans une confusion telle que toute notion de prédestination en paraît inconcevable
Mais en dépit des millions de possibilités que cela ne se produise pas, voilà que des routes se croisent, que des personnes se retrouvent face à face.
Il est curieux alors de constater l’importance du rôle que chacune peut jouer, parfois, et même souvent, dans la vie de l’autre. Pour quelle raison ? Comment ? Dans quelle mesure ?
Et là, du fait de cette faculté d’influer sur le devenir d’autrui, ne sommes-nous pas en droit de nous questionner sur la finalité de notre création ? De nous penser autrement que des personnages errants dans l’espace et le temps au gré d’une dérive planétaire ?
L’histoire de Charles pourrait peut-être apporter des éclaircissements sur le sens de ces rencontres mais également sur les évènements que la vie dispose à priori sans raison sur notre route.

Tout alors prendrait un sens, une signification allant bien au-delà des apparences.

Livre à couverture souple

Critiques du livre :

Un commentaire de Valérie

Je viens de terminer la lecture du chapitre 1 et j’ai hâte de lire la suite, curieuse de découvrir et comprendre le parcours de Charles, vers le lâcher-prise toujours plus maîtrisé et la façon qu’il trouvera pour aider les autres. Ces quelques lignes me rappellent le beau personnage de Raoul et sa générosité.

J’aime beaucoup ton regard sur la misère au soleil et le décalage entre la Guadeloupe touristique, faussée, brillante, et celle de ses habitants, difficile pour beaucoup, le soleil n’empêchant rien. J’ai eu la très forte sensation de ce décalage en arrivant là-bas. Ça s’est confirmé à chaque visite dans l’île, comme je l’avais ressenti aussi en Martinique, mais d’une façon moins flagrante.

Laurence

Bonjour,
J’ai terminé votre roman « l’opération » et tenais à vous dire que j’ai beaucoup apprécié cette lecture... Je n’ai eu aucun mal à rentrer dans votre univers et me suis souvent sentie en phase avec les sentiments de Charles... Cette première lecture a éveillé ma curiosité et m’a donné envie de lire vos autres ouvrages ! Laurence (Agora, 21/02)

Michel (Blois)

Son second roman m’a littéralement scotché par la qualité des émotions qu’il dégage... nous avons sur ce forum un auteur de talent !!!

MIMI

Bonjour Roger,
Après avoir lu, le Don de Raoul qui m’avait touché au plus profond de mon être et de mon âme, il me fallait absolument connaître la suite…
L’Opération a été une révélation tout autant sublime, tu as un talent évident d’écrivain dans les mains Roger, n’en reste pas là s’il te plait, continue à partager à tes lecteurs, ce savoir et cette expérience que tu as du fonctionnement de l’amour inconditionnel.

Amitiés les plus sincères et les plus profondes.

Michel

De Georges André de Nantes

Cher Roger,

Je viens de terminer « L’opération » que j’ai lu en Auvergne, au cours d’un petit séjour chez des amis. Je ne te cacherai pas que j’ai eu parfois du mal à suivre tout le parcours initiatique de Charles, ses relations spirituelles avec ses « guides », son rapport au « corps éthérique » ; je suis sans doute trop matérialiste pour cela... Tout ce qui lui arrive après son opération me paraît davantage relever d’un processus psychanalytique, et c’est de ce point de vue là que je m’y suis attaché : cet homme qui se débat avec ce que j’appellerais plutôt une névrose a quelque chose de poignant, de même que le beau personnage de Marilyne. On sent que tout cela a été vécu dans une souffrance authentique ; je suppose qu’il y a beaucoup d’éléments autobiographiques dans ce roman et c’est ce qui en fait la qualité humaine. J’ai bien apprécié aussi l’évocation de la Guadeloupe qui m’a rappelé un séjour que j’y ai fait il a quelques années ; on sent que tu en as une connaissance très personnelle et approfondie, riche d’une réelle compréhension de cette population. C’est cet aspect-là du livre qui m’a davantage plu, ce qui le rend vivant ; les relations avec Ahmed ou Suzanna, par exemple. Voilà donc l’essentiel de mes impressions. Tu vois qu’il n’est pas nécessaire d’adhérer l’arrière-plan mystique, rosicrucien peut-être, de ce livre pour l’apprécier pleinement. Il y a un homme derrière, un homme qu’on a le sentiment de mieux connaître lorsqu’on a terminé la lecture. N’est-ce pas là l’essentiel pour un roman, qu’on y trouve l’homme ? Avec toute mon amitié. Georges-André.

De Maryse (Corse)

Je viens de terminer le merveilleux livre de notre frérot voiedorée l’Opération, ce n’est même plus lire c’est dévorer... alors évidemment tout comme le 1er je vous le conseille vivement... quel talent mon cher ami... des moments très difficiles et très longs cette « nuit noire de l’âme » mon frérot ce qui durait des mois en te lisant... paraissait des années pour ce passage... merci de tout cœur pour ce livre mon frérot... car j’y ai encore trouvé des clés et des réponses bientôt le prochain c’est pour quand au fait ? ros bisous angel

De D... de Paris

On oublie que l’on connaît l’auteur, qu’il s’agit de son autobiographie, on plonge dans ce roman dont l’intrigue psychologique se lit comme un polar.
J’ai adoré !

De Leylou (Aude)

Je vis intensément ce récit… .. j’ai l’impression de vivre avec vous… et cela me touche profondément…

Ce n’est même plus du bonheur c’est au-delà de cela... les émotions m’étreignent très très fort..

Cœur de l'Être (le 06/03/2008 à 12h52)

Voilà, il est paru ce recueil de poésie.

Il est possible de le consulter sur le site de mon éditeur ou le commander à l'adresse suivante :
 

https://www.publibook.com/coeur-de-l-etre.html/
 

Il est préfacé par Anna Galore, auteure connue qui vient de terminer son sixième ouvrage : "La femme primordiale".

Il se compose de deux parties, cependant, elles sont imbriquées entre elles de façon à montrer qu'en fait il n'y a pas de séparation.
La première partie est plutôt descriptive, montrant la Réunion principalement mais aussi d'autres endroits où je suis passé. Ces descriptions par l'art poétique obligent à voir différemment ce que l'on a l'habitude de côtoyer.
L'autre partie est composée de poésies qui éclairent le lecteur sur ma façon de concevoir la vie et tout ce qui tourne autour des faits habituels, décryptés à ma façon.

Les deux manières en fait se mêlent car la vie est une et indivisible, que ce soit des choses de la matière ou de l'Esprit tout finit par se rejoindre dans un sens commun.

VOICI LES APPRÉCIATIONS DE MON ÉDITEUR

Cœur de l'Être
par Roger Barbet

Ce qui prime, c’est l’étonnement permanent, celui qui nous cloue et nous rive au présent, celui qui nous révèle vivants. Ce désir de rester stupéfait, c’est-à-dire tout autant émerveillé qu’effaré, fasciné qu’effrayé, transparaît dans le recueil poétique de Roger Barbet, capable de nous entraîner dans l’œil du cyclone ou de nous attendrir sur le miracle de la naissance. Scènes grandioses et scènes intimes, paysages spectaculaires et états intérieurs alternent ainsi dans cette œuvre où l’écriture abandonne toutes ses prétentions pour redevenir ce moyen de comprendre, par tâtonnements, par images, par détours, ce qu’est l’infinie complexité de la vie et des sentiments.
Certains le voient prophète, d’autres bohême ; certains le politisent, d’autres le veulent incarnation de la liberté… Pour Roger Barbet, le poète est avant tout passeur, prisme, "intermédiaire premier, capteur de tous les sons / instrument temporaire d’au-delà la raison". Oui, le poète est une caisse de résonances. Ses textes sont un lieu de transformation et de transmission. Ils sont cet espace où la langue retravaille un matériau brut, vivant et personnel, moins pour le décrire que pour nous le faire ressentir. Cette "mission" poétique, Roger Barbet ne fait pas que la définir. Il l’applique aussi, faisant de "Cœur de l'être" un recueil où s’affirme, humble, ébahi, bouleversé, heurté, le regard d’un homme épris du monde.

Prix : 10,00 € - 100 pages - ISBN : 9782748341041 - Poésie

Le don de Raoul

Introduction au livre

« Le Don de Raoul »

Je le révèle aujourd’hui, ce livre est un livre que j’ai écrit dans un but particulier. Il s’agit réellement d’un ouvrage « initiatique » dans le sens où il contient un certain nombre de clés qui pourront servir à ouvrir des portails de connaissance à ceux qui sont prêts à les utiliser.

Celui qui lira ou qui a lu ce livre comme un récit sociologique racontant la vie d’un être humain né dans une région austère du centre ouest de la France et qui s’est retrouvé à vivre en Guadeloupe une aventure particulière n’y retrouvera, s’il n’a pas une approche d’éveil ni commencé son cheminement sur le sentier, qu’un agréable divertissement rempli de hasards fabuleux.

Par contre, derrière le récit il s’agit bien d’une véritable initiation pour cet homme, sans doute prédisposé au début de son existence par un karma avancé, à des choix éclairants. Le lieu de naissance, plutôt sombre et maléfique dont j’ai volontairement accentué le climat en ne retenant que cette partie ténébreuse est adaptée à cette ignorance de celui qui n’est pas encore entré en communication avec son être intérieur.

Au cours du récit beaucoup de sujets seront abordés, en plus de la guérison par les soins magnétiques qui furent le point de départ de l’histoire, suivront d’autres sujets comme les synchronicités, les âmes sœurs, les détachements, la géobiologie, la sorcellerie et bien d’autres encore.

Livre initiatique car il montre comment, en fonction des choix que chacun peut effectuer selon son libre-arbitre la révélation des pouvoirs et au-delà des pouvoirs la maîtrise de sa vie et la rencontre avec sa partie Divine se réalisent inévitablement.

La plupart des péripéties qui constituent le récit sont parfaitement véridiques, parfois simplifiées afin de ne pas trop charger l’histoire de détails inutiles.

Il contient un certain nombre de « révélations » qui me furent communiquées sous forme de rêves ou de rencontres arrivant sur mon chemin au moment prévu pour cela.

Que ceux qui se retrouvent dans cette histoire n’hésitent pas à enrichir ce blog de leurs commentaires.

Pour commander :

Livre à couverture souple

Un aspect du livre : les soins

J’ai écrit « le Don de Raoul » sous la forme d’un roman afin qu’il soit lu par tout un chacun car la plupart des livres « techniques » traitant de sujets ardus risquent d’être délaissés par les gens « simples » qui ont malgré tout également leur « chemin de vie » à réaliser. L’histoire de mon héros : Raoul est celle d’une personne née dans un milieu ordinaire mais qui s’aperçoit rapidement que son devenir est tout autre. La découverte progressive de l’origine des maladies et accidents dans le corps émotionnel lui permet d’exercer son Don de magnétiseur d’une façon plus ou moins empirique. Tout en remarquant la réussite de ses résultats dans certains dérèglements il s’étonne de leur échec dans d’autres, et cela concernant le même type de désordres. C’est un grave avertissement par l’intermédiaire de sa santé qui l’oblige à considérer que l’échange énergétique n’est pas suffisant pour remettre « mécaniquement » en ordre les dérèglements physiques. Il lui faudra un nouveau concours de circonstances pour améliorer sa « technique » de soins. En effet il s’aperçoit, non seulement de l’impossibilité de résoudre certaines maladies et qu’il lui est obligé pour être efficace de modifier le niveau de conscience de la personne en quête de guérison. Pour cela il fait appel à nouveau à son « don » mais cette fois-ci pour permettre au patient de comprendre l’origine de son mal et de le formuler. Cette méthode s’apparente à toutes les méthodes de « soins holistiques » qui ne sont en fait et pour globaliser, qu’ils soient massages ou analyse transactionnelle, qu’à modifier la « situation émotionnelle » du demandeur face à un processus d’alerte physique. Pour Raoul les séances se terminent par une focalisation énergétique vers le chakra le plus approprié. Cette élévation de conscience ne portera ses fruits que pendant les jours qui suivent le soin car, même s’il n’y a jamais de retour en arrière dans ce domaine, seul l’effet de choc des premiers jours permet la captation, non seulement de la résolution des problèmes à l’origine de la maladie ou de l’accident mais également la convergence d’un faisceau d’aides extérieures captées par l’au-delà du mental avide d’y trouver la solution. Raoul s’aperçoit alors de son erreur première dans sa façon de traiter ses patients. En effet, son action de repolarisation du corps émotionnel par le magnétisme n’agissait qu’à la façon d’un médicament. En déconnectant la douleur du mental, il permettait au souffrant de pratiquer l’autoguérison, ce qui n’empêchait pas les désordres récurrents dus à un refus du mental de modifier sa perception des choses.La seconde partie du livre montre la suite du travail de Raoul mais d’une manière plus générale dans la mesure de sa compréhension du rôle de l’énergie et de la fréquence vibratoire dans le processus de guérison. Des circonstances particulières l’amènent à vivre dans une île des Antilles : la Guadeloupe. Il comprend alors le véritable but de sa mission et le sens de son existence passé qui ne constituait qu’en un apprentissage afin de pouvoir réaliser ce à quoi il était destiné dans cette île de la Caraïbe.Le livre que je termine actuellement ira encore plus loin dans la compréhension de la « guérison spirituelle » car il passera du général au particulier (c’est souvent l’inverse) sous forme de roman pour la même raison que mon premier ouvrage, en partant du rôle d’une maladie grave dans l’évolution spirituelle d’un particulier.

Le livre (le 24/02/2008 à 14h28)

Le don de Raoul Résumé

Raoul, muni de ses connaissances sur la religion, ressentait l’impression de tourner en rond dans une cage mais il s’agissait, pour l’instant, de sa seule référence à ce monde invisible qu’il tentait de percevoir. Cette façon de concevoir Dieu ne cadrait pas avec son monde invisible à lui, ses sensations qui lui soulevaient le cœur de joie quand il s’évadait dans ses pensées, ses intuitions, ses impressions de présences autour de lui. D’autre part, il ne pouvait pas admettre que l’adoration de Dieu puisse passer par tant de contraintes et de sacrifices que Dieu puisse être cette puissance à qui tout devait obéir au risque d’être anéanti, que Dieu refusait tout ce qui n’était pas écrit dans les livres que les supporters de la religion avaient écrits, que ceux qui n’étaient pas catholiques étaient des athées et se trouvaient par ce simple fait exclus des bénédictions divines. Raoul se sentait piégé au milieu de tout ce charabia en latin, ces simagrées dont il ne percevait pas le sens. Il avait simplement compris que s’il n’adhérait pas sans restriction à tout cela la damnation éternelle l’attendait.

Sa rencontre avec André et le début de ses investigations dans la bibliothèque du père de son ami lui apportèrent en partie l’éclairage qu’il attendait, et il avait conscience que cette opportunité lui arrivait au bon moment. Après qu’il eut assimilé la compréhension de son niveau, il pouvait désormais passer à l’échelon supérieur.

Cela ne voulait pas dire qu’il comprenait vraiment tout ce qu’il lisait, cependant son intuition lui recommandait de se remplir la tête de toutes ces données pêle-mêle car elles lui seraient utiles un jour. Par exemple, le premier livre qu’André lui apporta, pris au hasard dans la bibliothèque parentale traitait de la Cabale, autant dire que Raoul n’en comprit pas la moitié du quart, les séphirots, kalmuth, l’arbre de vie, l’étoile de David, tout cela se mélangeait dans sa tête, mais le peu qu’il pouvait en retirer emplissait son âme de cette saveur de l’inconnu interdit et l’obligeait à réfléchir et s’interroger sur des notions dont il n’avait pas la moindre chance de saisir le sens.

La mésaventure du séminariste inquisiteur n’empêcha nullement André et Raoul d’échanger à nouveau des livres, cependant ils le firent avec davantage de prudence et tout se déroula sans autres contrariétés. Les ouvrages qui arrivèrent entre les mains de Raoul lui permirent progressivement de comprendre la nature des phénomènes qui depuis son enfance le surprenaient un peu. Tout d’abord il lui fut nécessaire de comprendre et d’admettre la notion fondamentale d’énergie, que tout, absolument tout était énergie. Cette notion acquise, il y eut encore beaucoup d’autres concepts qui lui passèrent au-dessus de la tête mais néanmoins, au cours de ses rêves il lui arrivait de comprendre, dans le sens d’une intégration, des pans de connaissances jusque-là pour lui absolument hermétiques. Par exemple la phrase bien connue de Shakespeare « être ou ne pas être telle est la question » prit pour lui tout son sens en un seul instant. Un ensemble de mots et de phrases conceptuelles apparemment simples se révélèrent à lui dans leur sens le plus juste et éclairèrent progressivement sa compréhension afin de lui permettre d’avancer. Il prit conscience qu’il était dans une voie de connaissance qui l’emmenait vers des horizons inconnus et dont il ne pouvait pas encore estimer l’aboutissement. Raoul saisit que la notion d’énergie s’avérait fondamentale pour la compréhension, non seulement de son état de clairvoyant, mais était également valable pour la compréhension de toute la vie. Bien qu’il se sentit aidé dans son évolution, il s’aperçut que vouloir aller trop vite ne lui apportait pas les éclaircissements espérés. Bien sûr, la réponse à ses premiers questionnements se dessinait, mais il se rendait compte qu’il fallait maintenant expérimenter au travers de sa vie toutes les confrontations, situations évènements qui se présenteraient à lui pour lui permettre de progresser.

Néanmoins un évènement singulier se produisit, au cours d’une de ses introspections qu’il appelait désormais méditation, exercice qui consistait tout simplement à se détacher du monde concret le plus possible, dans une position assise, dans le noir, accompagné de respirations profondes et maîtrisées. Il se produisit donc un jour un phénomène extraordinaire. Dans un éclair d’une durée pas plus longue qu’un flash il comprit, mais « comprit » n’est pas le mot juste, il intégra se rapproche davantage de la sensation qu’il perçut, cependant « intégra » n’est pas encore assez fort pour expliquer cette impression qui lui permit dans cet éclair de percevoir une information essentielle, avec la certitude que jamais plus il ne devrait s’interroger sur ce sujet. Il venait de savoir, avec une précision et une exactitude qui ne permettait aucun doute, pourquoi il était né dans cette famille, pourquoi ses parents s’étaient comportés ainsi, et quel rôle ils avaient joué dans la formation de sa personnalité et de son caractère. Il comprit que c’était lui qui avant de naître avait choisi ces parents-là, les personnes qui lui convenaient le mieux pour son évolution spirituelle.