• La sexualité

    LA SEXUALITÉ

     



    Contrairement aux animaux dont la période des chaleurs temporaire est exclusivement concernée par la reproduction, sans autres besoins d’accouplement en dehors de ces périodes, l’être humain bénéficie de plaisir physique permanent dans l’acte sexuel.

    Cette opportunité signifie-t-elle que l’homme se doit de générer un nombre d’enfants ahurissants ? Bien évidemment non.

     


    La sexualité (le 15/03/2008 à 14h32)

    LA SEXUALITÉ

     



    Contrairement aux animaux dont la période des chaleurs temporaire est exclusivement concernée par la reproduction, sans autres besoins d’accouplement en dehors de ces périodes, l’être humain bénéficie de plaisir physique permanent dans l’acte sexuel.


    Cette opportunité signifie-t-elle que l’homme se doit de générer un nombre d’enfants ahurissants ? Bien évidemment non.


    La fonction de reproduction n’est donc pas exclusive de l’acte amoureux.


    Comment se fait-il alors qu’elle fut considérée comme malsaine, voire devenue le plus grand des péchés par la morale, chrétienne en particulier, mais aussi d’une manière détournée par la plupart des religions ? La sauvegarde de la cellule familiale pourrait en être la réponse, mais alors comment se fait-il que même à l’intérieur des familles faire l’amour a été et continue d’être un acte soumis à conditions et réglementation de toutes natures par les gardiens des dogmes ?


    Le sexe : le plus important des péchés ? Il s’agit surtout du plus puissant moteur de la vie, ce besoin fondamental arrivant tout juste après celui de se nourrir mais avant celui de se loger ou de se vêtir. En se servant de cet outil comme moyen de répression, les maîtres auto désignés des consciences savaient qu’ils détenaient un moyen terriblement efficace de répression et de culpabilisation.


    Au fil des temps, la prédominance des religions a perdu de son autorité, peut être aussi que leur tentative de maintien des vieilles armes malgré l’évolution des mentalités est-il pour quelque chose dans ce désintéressement ?

     

    Et au niveau spirituel puisque c’est ce domaine qui nous intéresse, qu’en est-il donc de la sexualité ?

     

    Dans les domaines évolués de l’éveil spirituel, la sexualité ne représente plus un obstacle. Le postulant à l’illumination, au fur et à mesure de son avancée dans la voie, sans même qu’il s’en aperçoive s’est détaché de ce besoin, comme il est le plus important, il a sans doute été le dernier à s’effacer. Détachement ne signifiant pas abstinence, les relations sexuelles de l’être éveillé y gagnent en intensité et en puissance, démultiplié par la connaissance de la Réalité de l’acte sexuel.

     

    En ce qui concerne les débutants, il est bien sûr nécessaire de ne pas considérer ce plaisir comme un acte honteux. Il est ce qu’il est en fonction de la personnalité de chacun, générant plus ou moins de plaisir d’où plus ou moins d’addiction. Comme tous les besoins primaires, l’écueil de la satisfaction recherchée au-delà du besoin reste présent. Celui qui prend plaisir à manger, même arrivé à son stade de saturation lui faisant comprendre le moment de passer à un stade supérieur afin d’en éprouver de la satisfaction, peut rester lettre morte. Il en est de même pour la sexualité qui devient un but en soi par cette recherche du plaisir ne contentant plus, malgré les recherches de fantaisies et fantasmes appropriés, mais continuant à perdurer sur la mémoire des plaisirs antérieurs.

     

    Le plaisir, composant essentiel de la sexualité n’est pas anti spirituel, il fait partie des nécessités du corps, il faut donc continuer à le satisfaire. Dans le cas contraire, insatisfaction, répression, culpabilisation conduisent à un renforcement du besoin et un blocage dans l‘évolution spirituelle. Nous ne sommes pas responsables de ce qui est, il n’y a donc aucune faute à pratiquer la rencontre charnelle, seuls les rapports sexuels contraints n’entraînent pas de résultats positifs pour l’un ou l’autre des partenaires.

     

    Il n’en est pas de même pour les rapports sexuels consentis, quelle que soit l’intensité amoureuse car les particularités de l’amour humain font que la tendresse et l’affection remplacent trop tôt les feux de la passion et on ne peut pas demander à ce que les rapports sexuels soient réalisés dans la béatitude d’une passion partagée la vie durant. Malgré cela, l’énergie de l’amour physique n’est pas perdue ni dispersée aux quatre vents. Compte tenu de la haute qualité de fréquence vibratoire qu’il dégage, il participe à élever la fréquence de la planète, contribuant ainsi à favoriser le changement de dimension promis depuis longtemps.

     

     

     

    « La souffranceLa mort (transition) »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :